Et si tout était encore possible ?

Et vous, que seriez-vous prêts à faire pour réaliser le dernier souhait d’un être cher ?

Théo est atteint d’une maladie génétique rare, le syndrome de Wolfram, contre laquelle il se bat chaque jour avec force et joie de vivre, en musique, et avec beaucoup de dérision. Sa passion ? La nourriture et le cyclisme. Deux choses dont la vie le prive petit à petit… Alors que le découragement le guette, sa sœur Lily cède enfin à sa requête si souvent formulée : parcourir le globe.
Mais, en est-il vraiment capable ?

Entre rires et moments de doute, débute alors un périple un peu fou, fait de premières expériences, de rencontres, d’amour, et d’aventures. 

Un voyage à bicyclette à travers les plus merveilleux paysages du monde et au plus profond de l’âme humaine. Une esquisse de l’amour fraternel. Une course contre la montre avec la fureur de vivre. Un défi lancé à la grande faucheuse… Car demain n’attend pas.

Genre : roman

Nombre de pages : 348

Prix : Broché : 16,99€  / Numérique : 4,99€

Où le trouver?

Format broché disponible à la commande dans toutes les librairies et sur toutes les plateformes.

Format numérique en exclusivité Amazon. Gratuit dans l’abonnement Kindle.

Pourquoi ai-je écrit ce roman ?

La première réponse qui me vient instinctivement est : parce que Michel m’y a poussé ! 

Et c’est la pure vérité. De nombreuses fois, j’ai tenté de mettre des mots sur ce que traversait mon frère sans jamais parvenir à la hauteur de mes attentes. C’était trop intrusif, trop personnel, trop dur… Jusqu’à ce jour où, au fond du gouffre, Michel, mon agent m’a appelé et a appuyé là où ça fait mal : « C’est ce roman, Julie, que vous portez en vous. C’est celui-ci que vous devez écrire. Maintenant. » J’ai refusé, mais il a insisté. Il a su entendre mes craintes, mes appréhensions, mon désespoir et ma douleur, il a su rester silencieux et patient derrière les notes joyeuses des Daft Punk qu’il me passait au téléphone. Il a su être un ami précieux alors même que nous ne nous connaissons que très peu. Et enfin, il a su me proposer une forme acceptable au récit qui brûlait mon cœur. Une manière tolérable de conter cette histoire — mon histoire — un mélange entre fiction et réalité.

S’en est suivi une frénésie douloureuse d’écriture. Incertitude et hôpitaux rythmaient mon quotidien, ma réalité, et dans mon esprit naissait un voyage que j’aurais voulu faire avec mon frère. Un plan de route, beaucoup de recherches, une introspection nécessaire, des souvenirs. De la musique, beaucoup. Un exutoire. Une thérapie.

J’ai mis un point final à ce récit au bout de trois mois. Une parenthèse hors de ma zone de confort, un besoin, une intrusion dans l’intimité de la maladie.

Un cri du cœur.

Une ode à la vie.

Un roman pour mon petit frère et son combat, entre réel et imaginaire.

« Pour t’éterniser ». Je crois que le titre est évocateur.

Au moment où j’écris ces quelques mots, il continue de s’accrocher. Sa conscience est vive, prisonnière d’un corps qui le trahit, muselée par la maladie.

Je reste dans l’ignorance de ce que l’avenir nous réserve, mais je suis fière d’avoir pu faire ce voyage avec lui, même si ce n’est que sur le papier et dans mon esprit.

Pourquoi est-ce que j’ai écrit ce roman ?

Pour lui. Pour moi. Pour l’éterniser. Parce que je l’aime de tout mon cœur…

Autobiographie ou fiction ?

Fictionalité? 

Une fiction. Avec beaucoup de souvenirs malgré tout. 

J’espère sincèrement que ce récit qui me tient très à cœur vous plaira.

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